20.7.12

ECHOS DU MONDE DES IRIS



Du rififi à Moscou

Le concours d’iris de Moscou a été victime, cette année, d’un conflit entre la CIS (la société russe des iris) et celui qui avait été désigné comme commissaire, donc chargé de suivre ce concours et d’en assurer le bon déroulement. Ulcéré des reproches qui lui ont été faits à propos de son action, le commissaire a claqué la porte et gardé pour lui les résultats de la compétition !

1 commentaire:

Anonyme a dit…

De ceux qui exercent un pouvoir qui leur est délégué !

Voilà une histoire totalement immorale mais qui porte une vraie leçon. Il en va des commissaires comme des élus. Je ne parle pas du monde politique mais bien de celui des iris. Il faudra se souvenir que si le commissaire en question a été « désigné », c’est sans doute parce qu’il l’a demandé. On ne connaît pas toute l’histoire mais, investi du pouvoir qui lui a été délégué , il a su exercer ce pouvoir jusqu’au bout, et ce à bon ou à mauvais escient ! Heureusement que cela ne s’est pas produit chez nous ! mais il y a une leçon à retenir de tout cela : la présidence, la trésorerie, le secrétariat et toute position indispensable à la bonne marche d’une association qui prétend accomplir une action, fût-elle celle d’une superbe exposition ou de l’enregistrement, à toute échelle géographique que ce soit, des nouveautés et des trouvailles des adhérents à l’association en question n’est qu’une délégation de compétence et non un mandat de plein pouvoir ! La compétence « technique » des personnes détentrices de ces délégations n’est pas seule en cause. Leur moralité est aussi en question.

Dans cette histoire, qui est responsable du conflit ? Une présidence qui tient trop à son pouvoir ou un commissaire trop « investi » dans sa mission ?

Astorkhan